Je conclus, monsieur le président, même si je n'ai pas pu exprimer tous les arguments que j'aurais voulu sur cette question très grave.
Je ne suis pas un maniaque de l'impôt, et je me félicite qu'à Nantes, où je siège en tant qu'élu local, nous n'ayons quasiment pas augmenté les impôts depuis six ans.