Puisque nous en sommes aux paradoxes, je dois dire qu'il était très intéressant de voir que le propos tenu par le Président était suffisamment haut pour que l'opposition l'écoute respectueusement et suffisamment fort pour que celle-ci ne trouve pas d'arguments pour lui répondre. (Applaudissements.)
Dans ce contexte, nous nous trouvons confrontés aujourd'hui à un rendez-vous que le Président de la République nous fixe tous ensemble, au Premier ministre et à nous parlementaires de la majorité – je me permets de m'exprimer ainsi car je crois avoir compris qu'il n'y avait pas de parlementaires de l'opposition.