Monsieur Loncle, nous ne sous-estimons pas la gravité de la crise, contrairement au parti socialiste qui ne l'a découverte qu'il y a quelques jours, au moment de l'annonce de son plan de relance. (Huées sur les bancs des groupes SRC et GDR.) Dès la fin septembre à Toulon, le président Sarkozy, lui, avait pris conscience de l'ampleur de la crise. (Huées sur les bancs des groupes SRC et GDR. – Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
Monsieur Loncle, la première réponse à cette crise est massive et rapide : c'est le récent vote du plan de relance qui doit permettre de faire repartir l'activité économique dans notre pays, par la voie de l'investissement. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)