Force est de constater que l'on dérive vers l'hyper-répression. Nous ne parlons que du seul droit d'auteur – droit que, pour autant, je ne méprise évidemment pas. Mais permettez-moi de faire un parallèle avec la santé publique : pour punir les jeunes fumeurs de cannabis qui, montés sur les barricades en 1968, avaient semé le désordre dans le pays, on avait imaginé une loi très répressive.