Je tiens, au nom de tous mes collègues, à saluer Jean-Yves Le Bouillonnec qui vient de nous rejoindre et qui, comme à l'habitude, vient de nous faire la démonstration de son grand talent. Il connaît certes bien ce sujet, mais il a défendu son amendement au débotté, après avoir eu à peine le temps de s'asseoir à son banc ! J'ai d'ailleurs vu, au moment où il est entré dans l'hémicycle, les visages des ministres et du rapporteur se crisper… (Sourires.)