Je pense que M. Bertrand, qui est attentif à ces choses, corrigera l'erreur au sujet de Saint-Pierre-et-Miquelon : une telle inégalité de droit serait inacceptable.
Je le dis après avoir écouté des collègues plus spécialistes du sujet que moi : il y a vraiment une injustice violente, car l'annonce initiale ne comportait pas toutes ces restrictions.