Cet amendement se situe dans le prolongement de la discussion que nous venons d'avoir sur le FIQCS. Nous souhaiterions qu'il soit davantage abondé pour pouvoir mener des politiques de santé publique plus vigoureuses, pour favoriser l'accès aux soins des enfants en particulier et développer des modes d'exercice collectif de la médecine. L'ONDAM hospitalier est sous-évalué et l'ONDAM soins de ville surévalué. Nous proposons donc de diminuer ce dernier au profit du FIQCS.