Nous sommes tous préoccupés par la gravité de la situation, et inquiets. Si je suis d'accord avec vous lorsque vous dites que rien ne peut excuser la délinquance, je le suis moins lorsque vous portez un jugement très réducteur sur le texte. Faut-il rappeler qu'en matière de prévention, nous avons décidé, à la demande de M. Sarkozy et de Mme Alliot-Marie lorsqu'elle était ministre de l'intérieur, des avancées essentielles ? Un autre texte consacré à ce sujet viendra, du reste, en discussion à la rentrée.
Après avoir écouté votre propos concret et pragmatique, plus mesuré que celui de Mme Batho (Protestations sur les bancs du groupe SRC), je crois que nous pourrions enfin nous mettre tous ensemble au travail pour bâtir un texte efficace…