Monsieur Pupponi, vous avez invoqué votre expérience de maire de terrain. Vous avez rappelé, comme Éric Raoult avant vous, les expériences douloureuses auxquelles vous avez été confronté. Vous vous êtes montré ouvert au débat. Je remarque, du reste, qu'une telle attitude est quelque peu contradictoire avec la question préalable que vous avez défendue, puisque celle-ci a pour objet de décider qu'il n'y a pas lieu à délibérer. Néanmoins, vous avez ouvert la porte au débat et nous sommes à l'écoute de vos propositions. De plus, vous avez annoncé que vous décideriez de votre vote à l'issue de notre discussion. Il convient donc de délibérer.