Les conseils qu'il avait donnés avec cette sagesse qui l'a mené à la présidence de la Cour des comptes ne sont pas suivis et nous sombrons dans une précipitation de mauvais aloi.
Votre démarche est illogique donc, mais M. Warsmann ou M. le secrétaire d'État vont sûrement tout nous expliquer. Il est important de renforcer le rôle des commissions, dites-vous, et l'Assemblée débattra en séance publique non plus du texte du Gouvernement mais du texte issu de la commission. C'est bien en reconnaître le rôle éminent. Or, alors que, sans doute, vous cherchez comme nous à améliorer la qualité du travail législatif et celle des lois, vous ne semblez pas prêts à voter le sous-amendement que nous proposons à propos des propositions de résolution.
Monsieur le secrétaire d'État, je ne comprends pas bien.