Je voulais vous dire, monsieur le secrétaire d'État, que l'esprit qui prévaut depuis le début de la matinée n'est pas celui-là. Les statistiques sur lesquelles vous vous appuyez sont celles dressées depuis le début de nos discussions. Or nous avons montré depuis – et notamment ce matin – qu'à chaque fois qu'il y avait une possibilité d'avancer, nous souhaitions avancer, qu'à chaque fois que l'un de nos amendements était repris, nous ne jouions pas la montre mais l'amélioration du débat.