En agissant ainsi, vous pourriez donner des signaux forts à l'opinion publique et permettriez au Gouvernement dont vous faites partie de conduire sa politique. Votre argument se retourne : en vous entêtant dans l'examen de ce projet de loi organique, vous prenez la responsabilité de reporter l'examen des textes sur le logement ou l'hôpital, qui constituent pourtant des éléments fondamentaux de votre politique.
Vous faites un bien mauvais coup à M. Fillon – mais existe-t-il encore ? – et surtout à M. Sarkozy. Je crois que votre note de ministre ne va pas s'en trouver améliorée !