Il y a beaucoup de sujets qui ne regarderaient pas l'Assemblée et dont elle a raison de se mêler. Car, précisément, le Gouvernement s'en mêle, et nous devons, comme le disait notre collègue Jean-Jacques Urvoas, influencer sa marche, sans jamais la contraindre ni enfreindre les règles de mise en cause de la responsabilité gouvernementale.
Nous vous adressons ces propositions, mais vous nous dites : « Circulez, ce n'est pas possible. » Nous avons donc un petit problème, monsieur le secrétaire d'État ! Nous avons été tout à l'heure plusieurs députés de l'opposition à vous dire que nous attendions toujours vos propositions sur le point de blocage majeur de ce texte, qui est son dernier article, sur lequel l'affrontement est total. Nous attendons le début du commencement d'une proposition, qui n'est toujours pas venu…