Cet amendement essaie, maladroitement d'ailleurs, de poser un problème difficile.
Lorsqu'un couple, qu'il soit marié, pacsé ou en concubinage, a des enfants, il a droit à des demi-parts. Quand les enfants partent et que le couple se sépare, chacun garde une demi-part supplémentaire. Quel est le fondement de cette demi-part que certains qualifient de récompense de la rupture ?