Ces familles, dans lesquelles, fréquemment, les parents travaillent, présentent souvent un dossier recevable au titre de la loi DALO mais, à ce jour, elles sont toujours sur le trottoir de la rue de la Banque et attendent un relogement.
L'État et la DASS consacrent parfois des millions d'euros – car certains profitent de la misère humaine – à reloger dans des hôtels, souvent insalubres, des familles qui ne peuvent même pas se préparer un repas sur place – leurs dépenses d'alimentation deviennent alors considérables. Il aurait été plus judicieux de louer des logements et de les mettre à disposition de ses familles…