J'y viens, monsieur le président.
La pauvreté est l'affaire de tous, elle implique que l'État prenne ses responsabilités et exige des entreprises qu'elles prennent les leurs. C'est parce que nous refusons que le temps partiel demeure l'unique horizon des politiques de l'emploi, l'unique perspective offerte aux salariés privés d'emploi, et que nous refusons que le « travailler peu pour gagner peu » se fonde en principe de la lutte contre la pauvreté, que les députés communistes et républicains voteront avec fermeté et conviction contre ce texte. (Applaudissements sur les bancs du groupe GDR.)