Or, compte tenu du nombre élevé des niches fiscales en France et de leur poids, nous ne pouvons nous contenter, madame la ministre, d'un énième rapport sur cet impôt minimum alternatif, nous devons l'introduire dès la loi de finances pour 2008 – et je sais que le rapporteur général partage cette ambition.
Je vous remercie pour les réponses que vous voudrez bien nous apporter. (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)