Le coût de l'accession à la propriété représentait en moyenne en 1996 trois ans et demi de revenus d'un ménage ; il en représente en 2006 plus de six ans. Face à cette dégradation, il fallait absolument prendre des mesures. Là aussi, il est inutile de s'embarrasser de polémiques stériles. Les majorités successives, à commencer par la nôtre au cours de la précédente législature, ont mené une politique extrêmement active en faveur du logement locatif social.