Elle trouve paradoxal d'encourager les embauches en facilitant les licenciements – nous l'avions dit nous aussi.
Il serait ici paradoxal, madame la ministre de l'économie, des finances et de l'emploi, que la colère des organisations syndicales, l'angoisse des salariés en CNE, l'inquiétude des chefs d'entreprise continuent à être traitées avec mépris, et que cette session extraordinaire du Parlement ne soit pas l'occasion, pour le Gouvernement, de dire quelles suites il entend donner à la décision de la cour d'appel de Paris.
Vous aurez compris, monsieur le président, qu'on ne peut pas, sans cette clarification, commencer à débattre de dispositions nouvelles sur les heures supplémentaires. (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)