Monsieur le secrétaire d'État, le 10 juin 2008, lors d'une séance consacrée aux questions orales sans débat, vous m'aviez répondu que vous étiez attaché au principe d'une AFPA nationale, gérée nationalement de manière tripartite par l'État, les régions et les partenaires sociaux, et vous vous étiez déclaré soucieux de trouver les adaptations nécessaires à l'obligation de respecter l'application des procédures d'appel d'offre. Je suis donc confiant dans le devenir de l'AFPA. (Exclamations et sourires sur les bancs du groupe SRC.)
La formation professionnelle tout au long de la vie avait besoin d'une réforme urgente. Puissions-nous faire oeuvre utile en examinant ce projet de loi : il y va de l'emploi des Français, de leur épanouissement dans leur vie professionnelle et de la formation qui est, avec l'éducation, le meilleur investissement pour l'homme libre et responsable. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)