Vous dites que, si l'on supprime les subventions, les compagnies low cost vont disparaître, ainsi que les aéroports qui les accueillent. Mais elles vont disparaître de toute façon, car le coût du carburant représente 35 % du prix du billet. Comme le coût du carburant va continuer à augmenter, les low cost sont condamnées, à échéance de trois ou cinq ans.
(L'amendement n° 1076 n'est pas adopté.)