Si je ne le suis pas totalement dans ses arguments, j'en partage l'esprit. Le traité ne répond pas aux attentes du peuple. Il ne répond pas au problème de la casse des entreprises et à la problématique des délocalisations. Je m'interroge sur le discours du Président qui a assuré aux travailleurs de Gandrange que l'État investirait dans leur entreprise.