Après avoir signé un chèque en blanc à nos partenaires, qui désormais n'auront plus besoin de nous pour obtenir le renforcement de leurs droits de vote – je pense notamment à l'Allemagne –, comment imaginer obtenir une réponse à nos demandes, qu'il s'agisse de la BCE, de la politique de la concurrence ou de l'Union méditerranéenne ?