Or pensez-vous sincèrement que vous pourrez redresser le pays tout en confortant les politiques européennes qui sont à la source de nos difficultés ? Vous avez applaudi le Président de la République lorsque, à Agen, Nîmes ou Charleville-Mézières – et j'en passe –, il a mis en cause la BCE, la concurrence déloyale et l'absurde politique intégriste de la concurrence de la Commission.