Monsieur le député, les questions sont parfois très proches et le ministre y répond de façon globale.
Je demande que la Conférence des présidents évoque cette question. Puis elle tranchera. En tout état de cause, cela ne changera rien ni pour le président de séance, ni pour le ministre, ni pour le député. Ce qui demeurera, c'est deux minutes pour la question et deux minutes pour la réponse. J'avoue que nous ne sommes pas très bons à cet exercice. Nous en restons aux vieilles interventions qui duraient cinq minutes et où l'on posait la question dans les trente dernières secondes. Mais là nous n'avons plus le temps.