Je vous demande, monsieur le secrétaire d'État, de ne pas vous départir de l'esprit de cohérence que l'on vous connaît et de nous faire connaître vos intentions concernant les quatre écoles nationales de la marine marchande, qui ne peuvent demeurer dans l'incertitude où elles se trouvent actuellement. Elles disposent toutes de corps de formateurs parmi les meilleurs, qu'il faut renouveler en ouvrant des postes au concours.