Ce sont ces élèves que l'école va aller chercher à leur domicile, à l'aide des 5 000 médiateurs prévus par le plan de relance.
Mais l'école, monsieur le député, ne peut pas tout. C'est la raison pour laquelle le Président de la République a demandé à Mme la ministre de l'intérieur de réfléchir à la mise en place d'un plan de lutte contre les bandes violentes.