La loi est claire à cet égard : le 31 mars prochain, c'est le comité d'entreprise qui aura la primeur des mesures de restructuration annoncées. Je le dis publiquement : il est inconcevable, pour le Gouvernement, qu'une restructuration brutale ait lieu dans un bassin d'emplois principalement constitué par les 1 200 salariés de l'usine de Clairoix.