Pourquoi avoir nié et avoir menti jusqu'au dernier moment ?
Deuxième question : pourquoi avoir demandé aux salariés un retour aux quarante heures hebdomadaires de travail alors que l'usine était condamnée ? (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et GDR.) La direction allemande cherchait-elle déjà, il y un an, un prétexte pour fermer le site de Clairoix en cas de refus ? Les salariés ayant dit oui, dans leur majorité, au retour aux quarante heures, on comprend d'autant plus leur colère aujourd'hui.
Troisième question : pourquoi, madame la ministre, le groupe Continental n'a-t-il pas cherché à sauver l'usine de Clairoix ?