Monsieur le Premier ministre, il y a urgence. C'est pourquoi je renouvelle la demande faite ce matin lors de la conférence des présidents par Jean-Claude Sandrier d'organiser, dans les plus brefs délais, un débat à l'Assemblée nationale sur la situation au Moyen-Orient. (Applaudissements sur les bancs des groupes GDR et SRC.)