Je l'ai rappelé cette après-midi : nos situations peuvent s'inverser. Un jour, nous serons dans la majorité, et vous dans l'opposition.
À nos yeux, l'article 3 amendé par le rapporteur relève plutôt du fait du prince que du fonctionnement démocratique et transparent qu'exige notre République. Sans doute M. Warsmann aurait-il pu le récrire autrement, en s'inspirant d'un mot de François Ier (« Ah ! » sur les bancs du groupe UMP) : « Je suis le roi. Je veux être obéi. Portez demain mes ordres à mon Parlement. »