Dans le secteur public, on ouvre à la concurrence pour permettre au privé pour de se saisir des créneaux les plus rentables, ceux-là même qui permettent une péréquation, quitte ensuite à exercer un chantage sur le personnel, pour réduire ce que vous appelez les charges, c'est-à-dire les droits des salariés, les salaires directs et indirects. Et quand la privatisation pure et simple est évoquée, c'est pour pousser à la réduction des coûts, aux pressions sur les salaires, les droits et la protection sociale.
Aujourd'hui, c'est au tour du transport terrestre de voyageurs. Vous évoquez volontiers la « promesse faite par le candidat devenu président de la République »