J'y viens, monsieur le président.
Il faut agir pour soigner ces personnes, qui souffrent physiquement, psychologiquement et très souvent socialement. Ce ne sont pas des délinquants de droit commun. J'en veux pour preuve, madame la ministre, la décision de votre prédécesseur, M. Xavier Bertrand, qui avait l'intention d'inscrire la buprénorphine haut dosage sur la liste des stupéfiants, alors qu'il ne s'agit pas à proprement parler d'un stupéfiant.