Il n'est pas rare que, dans des départements ruraux comme le mien, la Meuse, l'ambulance arrive au domicile du patient deux heures après l'appel de la famille.
Ma question est donc simple : que peut-on envisager pour que cela change ? Les ministères ne pourraient-ils travailler ensemble – je pense à la sécurité civile et à la santé –, et ensuite avec les collectivités ? N'est-t-il pas temps, en cette période de vaches maigres, de regrouper ces services pour une meilleure efficacité ?