Monsieur le président, puisque nous nous connaissons bien, permettez-moi de vous dire franchement – mon intervention étant naturellement à prendre comme un simple commentaire, et non comme une critique de la fonction présidentielle – que j'ai été étonné par vos propos. Il me semble que votre volonté d'objectivité a quelque peu souffert de la forte pression exercée par l'UMP, ce qui vous a conduit à vous montrer injuste envers notre collègue Christian Paul, d'autant plus, monsieur le président…