Je vous remercie, madame la ministre, de m'avoir apporté une réponse précise. Mais je ne peux m'empêcher d'insister, car ma commune compte un grand nombre de personnes handicapées et je connais l'ampleur de leurs besoins pour faire face à l'adaptation des logements, aux déplacements et à l'aide quotidienne dont elles ont besoin. Et le revenu d'un conjoint, d'un partenaire pacsé ou d'un concubin ne suffit malheureusement pas. La situation précaire de ces personnes est souvent douloureuse, et nous qui avons la chance de ne pas la connaître, essayons de la regarder avec les yeux de la tendresse et non ceux de la pitié.