Tous les itinéraires des liaisons futures, qu'elles soient ferroviaires ou routières, relèvent du Grenelle 2, qui sera une loi d'application, et non pas du présent projet de loi. La seule exception est l'article 13, dont nous n'avons pas encore commencé l'examen.
Je vous demande donc, monsieur le président, que l'on en revienne, comme le règlement le prévoit, aux amendements qui ont un rapport direct avec le texte que nous étudions. Pourquoi ? Tout simplement parce que nous devons prendre aujourd'hui la décision de siéger vendredi, toute la journée, et probablement toute la nuit. Il nous reste encore 1 400 amendements. Et j'espère que ceux qui ont à coeur de défendre les sujets qu'ils observent aujourd'hui seront avec nous dans la nuit de vendredi à samedi pour nous aider à achever l'examen de ce texte. Il nous manque 62 heures de débat. Il faut que nous trouvions ces heures. Malgré tous les appels que nous avons lancés, les uns et les autres – et je remercie l'opposition, comme la majorité, d'avoir fait des efforts de concision –, il nous manque encore 62 heures de débat.
Monsieur le président, il est de mon devoir de président de commission de me tourner vers vous, de me tourner vers les groupes, et de dire que nous ne finirons pas ce texte si nous ne faisons pas des efforts. Et ces efforts impliquent que l'on s'en tienne strictement au texte et aux amendements en discussion,…