En effet les outre-mers sont au carrefour de la mondialisation ; ils sont une chance pour notre avenir maritime avec leurs douze millions de kilomètres carrés de zones économiques exclusives. L'outre-mer, c'est le réservoir écologique de la planète que nous devons préserver et mettre en valeur. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)
Alors que faut-il faire pour répondre au cri que vous lancez avec tant d'émotion, et qui est le cri que poussent nos compatriotes de Guadeloupe ? Il faut apporter des réponses de fond, il faut que nous y travaillions ensemble. Je crois que, après ces trente jours de crise, chacun en est conscient. Oui, il faut mettre des moyens financiers sur la table…