Cela veut dire que nous devons poursuivre la ratification. Pourquoi ? Parce que rien dans le traité de Lisbonne ne prescrit que nous devions arrêter dans leur tentative – et, je l'espère, dans leur succès – les pays qui n'y ont pas encore procédé. Donc, il faut continuer. Il n'empêche que, à moins d'initiatives venant probablement d'Irlande, mais aussi d'autres pays, qui nous permettraient d'inventer quelque chose pour remettre le train sur ses rails, le traité de Lisbonne, pour l'heure, n'est pas accepté.