C'est comme cela qu'il faut le prendre. Et parce que ce « non » pose bien des questions, il nous faudra, tout en respectant profondément le vote du peuple irlandais, quelques semaines, quelques mois sans doute, peut-être plus, pour le décrypter.
De plus, un certain nombre des sujets qui devaient être abordés par la présidence française ne le seront plus. Nous n'aurons pas, bien sûr, à nous occuper du service diplomatique extérieur, puisque, quoi qu'on en pense et quelles que soient les évolutions, que je souhaite positives, le traité de Lisbonne n'est pas accepté.