Merci, monsieur le président, merci à chacun d'entre vous, merci à M. Jérôme Lambert pour ses critiques toujours utiles, à M. Lecocq pour ses critiques toujours vives, parfois excessives, à M. Sauvadet pour ses encouragements et à M. Copé pour sa lucidité, pour son engagement, pour son soutien. Et puis merci àM. Axel Poniatowski d'avoir parlé de globalisation et du problème que pose à tous les citoyens européens la nécessité de faire face à un monde en mouvement qui, en particulier, remet parfois en question nos armatures sociales. Enfin, merci, monsieur Lequiller, pour cette Europe des citoyens, cette Europe des résultats.
Il est excessif, monsieur Lambert, de dire que la France n'était pas préparée. Rarement une préparation a associé autant de gens. Les vingt-six autres pays, y compris l'Irlande, y ont été associés, ainsi que tous les groupes politiques, et nous avons mené de nombreuses discussions.
Il est un peu tôt aussi pour le dire, alors que la présidence commence le 1er juillet. Nous jugerons des résultats.
Évidemment, la présidence française doit faire face à ce que vous avez tous souligné : le « non » de l'Irlande. Ce n'est, à mon avis, pas seulement un « non » irlandais, c'est aussi un « non » européen.