et anglaise, oui, et même contre Alexandre, bien avant, c'est toujours la même chose.
En effet, il est difficile de comprendre cette résistance, cette obstination si particulière, conséquence de la culture, des difficultés et de la religion, chacune étant au premier plan. Devant le peuple afghan, nous sommes dans l'incertitude. C'est pourquoi il faut travailler beaucoup plus avec eux : nous avons besoin d'établir des échanges ; il faut que les parlementaires afghans soient reçus plus souvent dans votre assemblée, que les techniciens afghans soient reçus dans notre pays, que l'éducation soit à la fête chez eux comme chez nous, et que tous les progrès soient soulignés au lieu d'être sous-évalués – même si, bien sûr, il n'y en n'a pas assez !
On nous demande de changer de stratégie.