C'est vrai, nous sommes engagés dans un pays qui a toujours eu une attitude hostile face aux puissances étrangères. C'est donc à une méfiance profondément ancrée dans les mentalités collectives que nous sommes confrontés, alors que notre but a toujours été et reste d'aider les Afghans à se libérer des influences extérieures en inscrivant leur destin sur le chemin de la paix et du développement.
C'est vrai, certains de nos hommes sont engagés dans des opérations armées qui ne disent pas leur nom, avec ce que cela suppose d'incertitudes, de risques et de menaces.
Pour autant, doit-on se retirer ?