Tout cela, ce sont de nouvelles illustrations de cette volonté de contrôle total – au besoin par l'intimidation, l'appauvrissement, la mise sous le joug de la précarité budgétaire – du pouvoir sarkozyste sur les médias.
Que dire de la proposition de quelques députés – sans doute encore dûment diligentés – de remplacer la publicité entre vingt heures et vingt et une heures par des émissions destinées à l'édification morale de nos concitoyens ?