Vous êtes en train de refaire la même chose lorsque vous prétendez que les comptes n'y sont pas, alors que vous savez parfaitement que l'argent sera au rendez-vous.
La seconde réforme porte sur la gouvernance. On a droit à un concert de bêtises sur le thème : « C'est une régression, c'est le retour de l'ORTF » alors que vous savez bien, parce que vous êtes honnêtes – en tout cas entre vous –, que le texte prévoit l'avis conforme du CSA. Le mot « conforme » a un sens pour les juristes : le Président de la République ou le Premier ministre ne pourront pas nommer le président de France Télévisions sans l'accord du CSA.