C'est pourtant mon sentiment, et il est probablement partagé, madame.
Les préfets ont besoin de directives claires et durables qui ne changent pas au gré de l'actualité. Ils ont besoin, comme nos concitoyens, de stabilité juridique. La frénésie juridique qui s'empare de notre appareil politico-administratif est, de ce point, de vue significative.
Les députés du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche restent extrêmement dubitatifs face à la présentation de ces crédits, qui ne peuvent recueillir leur approbation. (Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.)