Je pense à la réussite de la réforme de l'État en Italie et à l'échec de la décentralisation, parce que les deux choses n'ont pas été menées de pair.
De ce point de vue, il me semble – je le disais ce matin en d'autres termes – que l'on aurait tort de séparer la réforme de l'État d'une revisitation de l'architecture générale des pouvoirs territoriaux, puisque nous sommes les seuls à avoir quatre niveaux sous l'État.