Avis défavorable. Je suis toujours surprise d'entendre cette défense et illustration de la publicité, que nous apprécions d'ailleurs nous aussi. Michel Françaix était davantage dans une culture que je pensais, jusqu'à ces derniers jours, plus profondément la vôtre lorsqu'il disait, en 1999, que la réduction de la publicité, dont il regrettait qu'elle ne soit pas plus forte, permettrait de diffuser de meilleurs programmes parce que moins soumis au chef de la publicité qui est d'habitude assis sur les épaules du chef des programmes, épaules qu'il écrase, bien sûr. Cette position était forte et très bien exprimée.