Je le reconnais : vous, monsieur le rapporteur, n'avez pas d'oreilles de cochon et savez écouter proprement les propositions que nous vous faisons. Nous n'en regrettons que davantage que vous fassiez preuve d'une telle parcimonie lorsqu'il s'agit de les accepter. Vous nous demandez en fait d'accepter ce texte en un seul bloc, sans rien y changer. Pourquoi ? Tout simplement parce que le Président de la République en a décidé ainsi.