Enfin, le texte participe d'une « réification » sociale, c'est-à-dire d'une généralisation des échanges marchands où les choses priment sur les individus.
Certaines entreprises sont autorisées de manière permanente à organiser le travail le dimanche. Il s'agit non seulement des entreprises industrielles dont la production nécessite un fonctionnement continu au regard de la nature des produits, mais aussi des établissements de vente de denrées alimentaires au détail – dans lesquels le travail du dimanche est autorisé jusqu'à douze heures –, des établissements fabriquant des produits alimentaires à consommation immédiate, des hôtels et des restaurants, et caetera.
D'autres sont autorisées, sous certaines conditions, à organiser de manière permanente le travail le dimanche, par exemple des entreprises industrielles fonctionnant avec des équipes de suppléance et couvertes par un accord collectif étendu prévoyant le travail le dimanche.
Enfin, les commerces de détail non alimentaires habituellement fermés le dimanche ont la possibilité d'ouvrir cinq dimanches par an sur autorisation du préfet.